En ce premier jour d’automne, nous nous retrouvons sous une bruine matinale au forum des Angles, point de ralliement pour la randonnée de ce jour. 11 randonneurs répondent à l’appel, dont Stéphanie, venue essayer la randonnée au sein de notre club.
Nous nous dirigeons alors vers Mérindol, où la météo n’annonce pas d’intempéries avant 17h, nous serons largement rentrés.
Le départ de la randonnée se fait à la maison forestière de la Font de l’Orme où nos randonneurs entament la première ascension de la journée à travers la forêt. Le profil est varié, entre chemin de terre et éboulis, mais la route reste praticable et la joie bien présente.
 

Nous arrivons ensuite au point culminant de la randonnée, le rocher de la croix de fer. Depuis le point de vue, nous voyons la vallée de la Durance et malgré le temps grisé, nous pouvons apercevoir la Saint Victoire au loin, ainsi que les Alpilles.
La suite de la randonnée se poursuit à travers des bois et la garrigue, au gré des courbes de niveau et des dénivelés tantôt positifs et tantôt négatifs.
La pause méridienne se déroule sur les hauteurs avant de rejoindre Mérindol, au milieu du thym et romarin, qui aromatisent certaines salades
 

Le groupe redescend alors en direction du vieux Mérindol, où, journée du patrimoine oblige, nous visitons les ruines du vieux village et nous renseignons sur le mémorial vaudois présent sur les lieux. Grâce à la table d’orientation, nous pouvons confirmer la géographie de la vallée de la Durance

Il ne reste que 4 kilomètres à faire pour terminer la randonnée, au début sur une DFCI ensoleillée puis à travers bois pour revenir via l’arboretum au parking où la glacière nous attend.
Le soleil et un léger vent étaient de la partie pour nous permettre de profiter d’une agréable journée de randonnée.
Merci à Benoît, serre-file exemplaire et aux participants pour l’ambiance de la journée.
A bientôt sur les chemins
Camille
 

Pour cette dernière randonnée de l'année , la météo  est favorable pour passer une très belle journée avec un ciel bleu sans nuage .Nous sommes 9 randonneurs sur le parking du forum pour se rendre au Mas des Mélettes où nous nous sommes retrouvés sur  un parking à  côté de la route menant au Mont Ventoux côté sud.                                    Cette randonnée fait 17 km et 550m de dénivelé,  avec Bruno en serre file.

Nous commençons notre randonnée  par prendre un PR en empruntant un sentier sous la foret pour se mettre en jambe. Les températures sont très agréables, Nous arrivons à la balise « les Pins Noirs » pour partir sur un PR à gauche de celle-ci. La première montée de la journée s'offre à nous jusqu'au croisement de la combe brune.

Nous la traversons pour prendre un sentier non balisé mais très agréable à marcher,
Ce sentier va nous emmener jusqu'à la départementale D164 venant de Sault,
J'attire l'attention des randonneurs, du fait que nous allons marcher pendant quelques mètres sur cette départementale  Du coup la vigilance est de rigueur. Nous arrivons dans un virage où nous prenons un sentier qui nous amène dans une combe toujours à l'ombre nous menant au GR 4 - GR9

Cette DFCI en descente nous amène à un sentier que nous prenons sur notre droite. Après quelques mètres nous quittons le sentier pour faire du hors-piste en empruntant une prairie avec ses fleurs en pleine floraison qui amène à la maison dit « De Clare » où nous faisons une pause pour admirer l’environnement. 

Après quelques minutes nous repartons par une autre prairie pour arriver à un semblant de sentier. Je rassure le groupe en leur expliquant que nous y sommes passés lors de la reconnaissance. Après quelques minutes de hors-piste nous arrivons sur un chemin que nous quittons rapidement pour prendre une combe nous emmenant à la maison forestière du Rat où nous décidons de faire notre pause pique-nique.
 

Une fois notre pause de 45 minutes faite, nous reprenons notre chemin sur le GR91B qui nous permet d'arriver à la balise « Font d'Angiou ».
A cette balise nous prenons un PR sur la droite tout en montant nous permettant d'atteindre a balise de ce matin « les Pins Noirs ».
Nous continuons notre route sur un PR nous menant à la balise « Petit Moutet Est » puis nous arrivons à l’Hôtel de la Forêt.

Celui-ci a été retapé. Une fois le tour du propriétaire fait, nous repartons sur le chemin par un sentier pour arriver à la balise « Perrache ».
A celle-ci nous prenons une DFCI où arrivé à un croisement, nous prenons sur notre droite un sentier très mal identifié. Cependant  par ce passage nous arrivons sur un lieu où nous pouvons admirer le Mont Ventoux,
Par cette dernière carte postale de la journée, nous repartons pour arriver rapidement aux voitures.

La randonnée se termine vers 15h00. Ce temps fort agréable pour ce mois de juin nous a permis de savourer notre moment de convivialité autour de la glacière. Après cette belle journée, chacun est reparti chez soi pour une nouvelle semaine.

Je remercie les participants pour cette belle journée en leur compagnie. 
Merci à Claudine pour son cake au citron qui fût apprécié par le groupe.
Merci à Bruno, notre serre file du jour.
Merci pour votre confiance.
A bientôt sur les chemins. Benoît
 

Nous sommes dix randonneurs en ce dimanche de fête des mères à nous retrouver au départ du forum pour la randonnée de la journée. Le soleil et la température sont au rendez-vous en ce dernier weekend de Mai et les randonneurs sont heureux de se retrouver dans la vallée de la Lèque pour un circuit de 19km qui nous mènera en face de la cité des Baux de Provence.
Le départ se fait sur un chemin forestier puis une DFCI qui serpente et chemine à travers une forêt de pin. Depuis un point de vue, nous voyons Arles et l’abbaye de Montmajour au loin. Cap à l’est, nous conservons le Ventoux en visuel sur notre gauche et nous dirigeons tranquillement et dans la bonne humeur en direction des Baux de Provence.
 

La vue de ce village perché reste toujours impressionnante. « Les Baux sont beaux » comme diraient certains poètes du groupe… La pause déjeuner se fait sur la vision du village, merci à Yves, Robert et Michèle pour les chocolats, croquants et nougats. L’été approche et nous voyons les voitures et les touristes affluer en nombre. De notre versant, nous sommes bien isolés et ne croisons que peu de voyageurs

Il est temps de repartir en direction des carrières de bauxites qui se trouvent en bordure de la DFCI que nous prenons pour cheminer vers le retour. Le soleil est au rendez-vous et la chaleur se fait sentir, mais nos randonneurs restent alertes. Beaucoup de fleurs jalonnent notre chemin, ce qui permet un interlude botanique.
Nous longeons ensuite le pied du Mont Paon avant de revenir sur un paysage plus agricole, nous évitons la route en empruntant un chemin agricole et cheminons vers la « dernière ligne droite ». Un joli faux-plat nous attend pour terminer la randonnée, mais la glacière est là pour nous accueillir. Merci Claudine pour le clafoutis qui nous a permis de goûter avant de rentrer chez nous pour finir ce beau weekend.

A bientôt sur les chemins

Camille
 

Si l’on devait désigner une vedette de cette sortie du 12 mai, c’est bien la nature qui monterait sur le podium. Le Luberon nous a offert en cette journée ce qu’il sait faire de mieux : enchanter le regard de ses paysages dignes de la palette du peintre. Il faut dire que la météo a fait au cours des semaines passées ce qu’il fallait pour redonner au décor provençal en ce printemps le lustre qui fait sa renommée. Toute la gamme des verts constitue la toile de fond du décor depuis le vert vif de la feuille de vigne renaissante jusqu’au vert argenté de la feuille d’olivier, en passant par toutes les nuances intermédiaires. Les abords sont jonchés de coussins d’aphyllanthes de Montpellier, les talus rehaussés de l’or odorant des genêts, globulaires, centaurées, iris sauvages et tant d’autres plantes de garrigue dont les noms nous échappent mais qui ne manquent pas de nous faire nous féliciter d’en profiter en cette journée. Le soleil bien présent, mais pas trop, complète notre plaisir de profiter de la nature en cette journée.

Le point de départ de notre sortie est le monastère-abbaye Sainte-Madeleine du Barroux. On apprend sur le site de cette congrégation que l’édifice a été construit dans les années 80, que son église a été consacrée en 1989. Même si l’architecture rappelle quelques monuments du patrimoine plus anciens, les bâtiments et jardins ont bien le clinquant du neuf. D’autant que visiblement on ne peut mettre en défaut l’énergie de leurs occupants à en assurer un entretien parfait. 

Le parking y est autorisé et gratuit, agrémenté de tables et bancs ombragés en sous-bois. C’est un atout indéniable pour en faire notre point de départ. D’autant que depuis ce dernier on rejoint immédiatement le sentier qui amorce notre boucle. Cette dernière s’engage sur une piste mono trace en sous-bois laquelle suit la courbe de niveau pour faire le tour du massif du Dévès. Des trouées dans les lisières nous offrent des vues profondes sur ce paysage de mai en Luberon, avec au loin les dentelles de Montmirail et leur décor minéral émergeant des garrigues et vignes stimulées par ce printemps 2024 bien arrosé.

3,5 km de cette mise en jambe sans véritable dénivelé et nous voilà au pied de cet autre décor d’aquarelliste qu’est le village bien provençal de La Roque-Alric. Le traverser ne nous permettrait pas d’en apprécier le décor de crèche. Une piste de contournement nous donne en revanche l’occasion de le faire et de figer le tableau dans les mémoires. On ne peut plus dire sur la pellicule mais désormais de manière moins poétique dans les mémoires de ces appareils qu’on dégaine à tout bout de champ, quelque fois pour téléphoner. La Roque-Alric admiré sous son plus bel angle et nous voilà déjà en route vers le prochain village qui jalonne notre parcours : Lafare. A contrario du précédent, ce dernier est niché en fond de vallée. Moins photogénique pour le coup, mais pourtant tout aussi pittoresque. Rappelant d’ailleurs quelques souvenirs de vacances à certain natif de la région. Nostalgie quand tu nous tiens. 

Mais qui dit fond de vallée s’oblige à compléter le propos en confirmant que la sortie ne sera pas sans effort pour le randonneur. Car voilà donc la première difficulté du jour. Sortir de la combe de La Salette en laquelle se niche Lafare se fait par un PR qui part à l’assaut de Serre de La grange. Il nous fait retrouver les hauteurs après 150 m de dénivelé d’un raidillon malmené par les ruissellements. Il faut lever le genou pour escalader les rochers mis à nu, les racines qui tentent de ralentir l’érosion. Mais l’effort n’est pas insurmontable et d’ailleurs vite surmontés par notre groupe de ce jour dont je n’ai pas encore dit qu’il était constitué de 12 membres amateurs de décor printanier en Luberon.

Cette première difficulté n’ayant été que formalité au randonneur aguerri, le milieu de la journée nous commande de renouveler les calories perdues. Les abords d’un cabanon de vigne nous offrent quelques sièges de fortune pour engloutir cet en-cas qui charge notre sac et auquel l’effort produit nous a donné la convoitise. Trente minutes de pause « entre vigne et garrigue ». Certain chef étoilé a ainsi nommé son établissement (à Pujaut). Pour nous la carte sera moins onéreuse mais tout autant appréciée.

Le départ se fait en descente. Une descente qu’on aurait aimée parfois un peu abrupte après le repas si l’on en juge par les glissades heureusement sans dommage qui on mis les postérieurs à contribution. Et nous voilà franchissant le pont de Roubiol que l’on traverse sous une tonalité estivale. Le paysage est découvert, l’ombrage se fait rare pour remonter vers Roubiol, Les lentilles, Génenton, autant de noms de mas qui nous font dire qu’ils ne se dérangent nullement l’un l’autre dans leur vie domestique tant ils sont espacés dans leur écrin de vignoble.

Dans le dernier tiers de notre parcours nous retrouvons un sentier ombragé, certes plus beaucoup emprunté si l’on en juge par la végétation envahissante. Il circule en fond de vallon au nord des Estaillades. Depuis la reconnaissance de cet itinéraire un pin imposant s’est brisé à mi-hauteur et est venu obstruer le chemin. L’obstacle contourné sans trop de difficulté nous retrouvons les chemins vignerons agrémentés ça et là de leur joli cabanon, avant d’aborder la prochaine difficulté de notre parcours. Un raidillon qui serpente sur un pan de colline manifestement dépeuplé de sa végétation par un incendie quelques années auparavant. Parvenus au sommet, nous retrouvons avec plaisir un décor de pinède intact et plus propice à l’agrément forestier avec un sentier qui circule en crête ombragée. C’est enfin notre descente vers un site que beaucoup découvrent dans la région du Barroux : l’aqueduc à oculus. 

Oculus n’étant pas un dignitaire romain mais bien la configuration particulière des arches de cet ouvrage en forme de cercle de pierre. Aqueduc inauguré en 1847 il a été construit pour alimenter le village du Barroux en eau en franchissant le ravin des Gipières à partir de la source Saint-Andéol située à 4km de celui-ci. Détruit en 1945, il ne reste plus qu’une arche en état, sur les trois initiales, pour témoigner de cette curiosité architecturale. L’ouvrage dépassé il nous reste que quelques centaines de mètres pour rejoindre notre point de départ, croisant au passage un pensionnaire du monastère dévalant à vélo le sentier qui nous faisait faire notre dernier effort de la journée. Le cycliste a des allures d’aile volante avec sa chasuble de moine. Une protection céleste empêcha sans doute cette dernière de se prendre dans les rayons. Manifestement la tenue de circonstance ne sortait pas de nos grandes surfaces de sport préférées.
 

S’estimant quant à eux dans une tenue inadéquate, les randonneurs ont négligé la visite de l’abbaye autant que la boutique recelant divers les produits comestibles pour le corps, quand ce n’est pas pour l’âme, et préféré la glacière version été apportée par Benoît. J’allais dire Saint-Benoît, mais il a encore ses preuves à faire avant de prononcer ses vœux. On l’en remercie encore.

Au plaisir de vous retrouver sur d’autres sentiers, tant que la météo

ne nous cantonne pas en nos abris.

                  Bruno
 

J1 Vendredi 26 Avril Montdardier

En ce vendredi 26 avril, nous débutons notre weekend aux alentours du cirque de Navacelles. Nous nous retrouvons à 11 au départ du forum pour prendre la route à 8h en direction de la commune de Montdardier où se situe notre première randonnée.
Malheureusement, le weekend étant prévu de longue date, nous sommes donc dépendants de la météo annoncée… La semaine ayant été pluvieuse, nous démarrons donc ce weekend sous quelques nuages.
 

La randonnée débute dans le bas du village de Montdardier, caractérisé par un château datant du XI siècle, mais ayant été remanié de nombreuses fois et notamment par Viollet-le-Duc (l’architecture est caractéristique !).
Nous marchons quelques instants sur la route avant d’atteindre les sous-bois où le groupe attaque la montée à travers chemins forestiers et sentes plus réduites. 

Peu de pluie sur la montée, toutefois, les bas de pantalons se mouillent rapidement en raison de la végétation présente. Malheureusement, les sommets ne nous offrent pas les panoramas attendus car nous nous retrouvons la tête dans les nuages au point culminant de notre randonnée. L’aller-retour au roc castel est donc abandonné et la troupe prend un déjeuner sur l’herbe (humide). Après le déjeuner, le groupe s’engage sur une DFCI caillouteuse en direction de la grotte d’Anjeau. Nous nous arrêtons à l’entrée de la cavité, le sol étant glissant, mais le détour valait le coup

Suite à cet aller-retour d’une vingtaine de minutes, les randonneurs reprennent l’ascension à travers un sentier forestier semé d’em « bûches » (comprendre des troncs d’arbres). Nous retrouvons le site où le repas a été pris avant d’attaquer les derniers 5 kilomètres de notre randonnée. Sur cette dernière portion, les randonneurs se trouvent sur une piste large et l’allure s’allonge. Arrivés à Montdardier, une visite rapide du village est effectuée.

Puis, les randonneurs reprennent la voiture pour se diriger à la maison du site du cirque de Navacelles. Depuis ce lieu, un belvédère est présent pour profiter de la vue en contrebas du cirque de Navacelles. C’est également dans ce lieu que nous prenons de quoi nous réchauffer (pour la plupart) ou nous hydrater (pour certains autres) avant d’atteindre l’auberge de la cascade située au hameau de Navacelles, au fond de la vallée. La glycine est moins belle que début avril lors des reconnaissances, mais le cadre est idyllique et les randonneurs peuvent prendre du repos avant la journée du lendemain.

J2 Samedi 27 Mars Cirque de Vissec-Moulins de la Foux

Pour ce deuxième jour de notre week-end, la météo n'est pas clémente avec nous. En effet la pluie est au rendez-vous. Après avoir patienté quelques minutes, nous partons à 9h30 sous la pluie sachant que l'arrêt de celle-ci est annoncée vers les 10h30. La randonnée fait 17km environ avec 650m de dénivelé. Le départ de la randonnée se fait à partir de l'auberge de la cascade.

Nous longeons la Vis jusqu'au pont en pierre que nous franchissons, nous suivons un sentier qui monte au Nord en lacets pendant un bon kilomètre. Nous prenons vite de l'altitude  La montée ne présente pas de difficultés.
Arrivés sur la D713, nous prenons à gauche pour la suivre pendant un bon kilomètre  en descente jusqu'à un PR où nous franchissons une barrière. La pluie nous accompagne toujours dans notre périple. Cependant la vue du cirque de la Vis est magnifique avec une nature verdoyante.
 

Nous empruntons donc ce sentier qui part au Nord-Ouest. La montée reste raisonnable.
A la sortie du bois, nous arrivons sur la D113. Vu le temps déplorable et pour des raisons de sécurité, je décide donc de modifier notre randonnée.  Pour cela nous suivons la départementale D113 qui va nous emmener jusqu'à Vissec.
 

A Vissec, nous nous mettons à l'abri afin de manger une petite collation avant de repartir sous la pluie !!! Nous passons par notre aire de pique-nique où bien sûr nous ne mangerons pas. Nous traversons ensuite le village et nous récupérons à nouveau la D113 qui remonte direction Est. Au bout d'1km environ, nous prenons sur la gauche le sentier botanique des Gorges de la Vis.
Le sentier est bien tracé et très agréable. Celui-ci descend et longe l'ancien lit de la rivière. Tout le long du tracé nous pouvons découvrir des plantes et arbustes de la région associés à des explications bien illustrées. Arrivés à un croisement nous prenons un sentier qui descend à gauche jusqu'aux Moulins de la Foux où nous découvrons la résurgence de la Vis. Le site est très agréable et très joli.
Nous en profitons pour nous  ravitailler à l'abri sans trop nous attarder pour ne pas prendre froid notamment. A ce moment-là tous les randonneurs sont trempés des pieds jusqu'à la tête.
 

Après cette courte pause nous repartons par le même sentier pour remonter  récupérer notre chemin. Arrivés au croisement de tout à l'heure nous poursuivons notre randonnée le long de la rivière. Le sentier sous les bois est pratiquement plat. La fin de notre périple se fait sentir.
Le sentier nous amène à la D130,  nous terminons notre parcours sur la route nous emmenant à l'auberge notre point d'attache.
 

Malgré ce temps de cochon qui nous a accompagné toute la journée, l'ambiance était de mise. Arrivés à l'auberge chacun est parti pour prendre une bonne douche. Nous nous sommes donné rendez-vous à 16h30 afin de prendre une collation ensemble au sein de l'auberge. Camille et Gauthier  nos pâtissiers en chef  nous avaient  concocté un cake au chocolat et à la banane. Comme vous pouvez vous en douter, celui-ci était excellent.
 

Pour terminer cette journée, nous avons pu squatter l'établissement afin de jouer à des jeux de société dans la joie et la bonne humeur et surtout à l'abri de la pluie qui bien sûr ne cessait de tomber.

Je remercie les participants pour cette journée pluvieuse en leur compagnie.
 Merci pour votre  courage et merci pour votre confiance.
A bientôt sur les chemins ensoleillés,

Benoît
 

J3 Dimanche  28 Avril Grotte des Demoiselles & Retour

Au lever ce Dimanche, on se retrouve tous  pour le petit déjeuner  à 8h, certains d’entre nous ont déjà bouclé les bagages. Café, croissants, pains au chocolat, confitures maison, solide, car la pluie d’hier nous a fait comprendre qu’il serait chouette de bien manger…
Mais la météo n’est pas vraiment au beau fixe, elle est même de couleur orange (vent et pluie) !.. Aussi, les bagages déposés dans les voitures (oh miracle, il y a une éclaircie à ce moment), nous prendrons la direction des Grottes des Demoiselles qui en fait sont sur le trajet  du  retour. Benoit et Camille, toujours aussi prévoyants,  ont réservé en ligne la veille.

Nous monterons donc dans le funiculaire qui nous amènera au cœur de la grotte (dont l’entrée naturelle est un Aven) et nous suivrons avec confiance notre guide dans les détours des salles et couloirs (certains artificiels). Grandiose, avec en prime les commentaires passionnants.

Tout a une fin et nous nous retrouvons, avec la faim sur le parking. Là nous décidons de pique niquer au sec dans les voitures et non sur le site qui sert des repas. Mais nous remonterons partager le dernier gâteau au chocolat de Camille & Gauthier accompagné de café allongé ou de chocolat chaud.

De retour aux voitures, nous nous séparerons pour rentrer.

Merci aux conducteurs pour leur conduite parfaite malgré la pluie

qui tombe en rafales sur la route…

Merci à tous pour la bonne humeur malgré la météo...

On s’est tous dit «  A refaire dès que possible »…

En récompense, une petite vidéo :

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