Pour la première randonnée du MERCREDI et malgré un fort MISTRAL les jours précédents, nous sommes 8 courageux.
Départ de MAUSSANE par le domaine de MANVILLE, réputé pour son aqueduc qui alimentait les meuneries de BARBEGAL et ARLES et surtout pour son GOLF ECHO RESPONSABLE qui s’intègre dans le paysage des Alpilles.
Une petite route nous permet de redécouvrir la face moins connue du Château des BAUX (XI siècle). Démantelé en 1632 il ne reste que les vestiges de 3 tours (Tour des BANNES, SARRAZINE et PARRAVELLE).
Nous nous dirigeons vers les stèles romaines des TREMAÏE et GAÏE et la chapelle. La légende veut que ce patronyme vienne d’un bas-relief qui représente 3 personnages que les Provençaux ont identifiés aux saintes Marie-Salomé et Marie-Jacobé. Le 3ème personnage, sans doute un homme a été assimilé à une autre Sainte (Marie Sarah) d’où le nom de TREMAÏE.
Pour info la stèle funéraire GAÏE représente 2 personnages en toge.
Nous retrouvons la calade qui nous mène au village des BAUX, désertique à cette période de l’année.
La chapelle Saint VINCENT (St VINCENT de SARAGOSSE) de style ROMAN du XII siècle est en partie construite dans le roc. Nous profitons qu’elle soit ouverte pour admirer les vitraux modernes de MAX INGRAND (1955) offerts par le Prince RAINIER III en 1962.
L'église paroissiale des Baux-de-Provence est dédiée à saint Vincent dont elle porte le nom. Ce saint, né en Espagne au IIIe siècle de notre ère, occupait les fonctions de diacre de l'évêq...
Nous avons le plaisir de pouvoir accéder à la terrasse du château des BAUX avec une magnifique vue sur le vallon d’ENTRECONQUE et sur la Sainte Victoire.
Nous traversons le village des BAUX vide de ses touristes pour se diriger vers les carrières de bauxite. Pierre BERTHIER découvre le minerai en 1871 et donne le nom au village.
Ce minerai fournit l’alumine qui permet la fabrication de l’aluminium, métal précieux au XIXème siècle. On traite le minerai sous pression et à chaud en y ajoutant de la soude pour obtenir l’alumine. L’alumine est ensuite traitée par électrolyse pour faire l’aluminium.
L’aluminium est très énergivore et source de déchets (boues rouges).
En 1821 près des Baux de Provence, Pierre Berthier, un ingénieur des mines découvre les propriétés d'un minerai auquel il donnera le nom de Bauxite. Ce minerai de couleur rosée ou jaunâtre e...
Nous empruntons le GR69, voie phocéenne de la route de St JACQUES de COMPOSTELLE, en direction du château d’ESCANIN.
Le sigle LAROUTO nous interpelle : La Routo, de l’occitan far la routo, transhumer, est un projet franco-italien ayant pour objectif le développement des territoires autour de la pratique de la transhumance et de l’itinérance touristique.
Château d'ESCANIN & ses platanes gigantesques
Nous retrouvons MAUSSANE par le chemin des BATIGNOLLES (Ancien tracé de la voie ferrée), non sans jeter un regard sur la carte de France de la pierre taillée.
Merci à tous les randonneurs présents pour cette première.
Merci à tous les randonneurs présents pour cette première.
Malgré le vent qui souffla toute la nuit sans discontinuer, 28 randonneurs étaient présents au départ du parking du forum en ce dimanche 30 janvier.
Ils partirent en direction de Russan, commune de Sainte Anastasie, sur les bords du Gardon. Sur le parking de l’église, ils notèrent la présence d’un repère de crue. Ce repère indique le niveau que la crue des 7 et 8 septembre 2002 atteignit et il est impressionnant (au-dessus du fronton du porche !).
Afin de continuer sur le thème des inondations et avant de démarrer la randonnée à proprement parler, nos 28 randonneurs firent un aller-retour jusqu’au pont enjambant le Gardon. Afin d’une part de se rendre compte (même si l’exercice était difficile) de la quantité d’eau de la crue de 2002, et d’autre part, de voir les marques de la dernière crue en date sur le Gardon (15 septembre 2021), avec les herbes couchées par le courant.
Voilà une idée (petite) de cette gigantesque inondation...
Suite à cet intermède « mouillé » (désolée, la guide de la journée baigne dedans toute la journée !), la randonnée démarra à travers le village pour grimper par le GR jusqu’à la crête. Entre les quelques arbres et le sentier caillouteux, le Gardon nous apparut par intermittence jusqu’à se dévoiler à nous dans toute sa splendeur.
En chemin, le groupe visita (enfin quelques motivés) une grotte naturelle qui surplombait les flots. Suite à cette petite expédition spéléologique (Maurice, tu nous as manqué !), le groupe repartit en direction du lieudit « Le Castellas ». Aucun château ou même ruine à l’horizon, mais un superbe panorama sur un méandre de la rivière. Une plaque scellée expliquait le système d’infiltration et de résurgence propre au Gardon (et aux réseaux karstiques).
La randonnée continua le long de la crête jusqu’à atteindre un abri sous roche, dont un auvent maçonné fut construit (avec une cheminée !). Certains testèrent la résistance de l’auvent en grimpant dessus !
Comble du comble, lors de la reconnaissance (effectuée en novembre 2021) un brouillard empêcha les randonneurs de voir le Gardon et ils ne virent pas cet abri maçonné, situé pourtant à quelques mètres à peine du chemin ! (Il y aura des photos pour preuve de ce brouillard !)
La randonnée se poursuivit en direction du pont Saint Nicolas, quelques vues sur le Mont Ventoux et la ville d’Uzès s’offrirent à nous. Les randonneurs purent se restaurer à l’abri du vent avec, pour certains, une vue sur le pont. Malgré le vent, atténué par rapport à celui soufflant aux Angles, le soleil était au rendez-vous et le pique nique fut agréable.
Une fois bien rassasiés, les marcheurs repartirent. Ils poursuivirent le GR en abandonnant les berges du Gardon pour revenir par le village de Vic.
Enfin, après une dernière montée et une redescente vers Russan, les randonneurs terminèrent la randonnée sur un chocolat chaud ou une verveine.
Merci aux nombreux photographes de la journée (Benoît, Bruno, Joël, Pierre-Jean et Camille) qui permettent d’illustrer le blog.
Voici également quelques photos de la reconnaissance, avec des vues « embrumées » !
Après mon passage sur le site prestigieux du Pont du Gard, je prends la route sinueuse qui ondule comme un serpent dans les gorges du Gardon. Je joue à cache-cache avec la rivière dont les berge...
Le pont Saint-Nicolas de Campagnac est un pont en arc médiéval au-dessus du Gardon, datant du XIIIe siècle reliant les villes de Nîmes et Uzès dans le Sud de la France. Construit de 1245 à 1260, il se situe à Sainte-Anastasie.
Histoire[
Aux temps romains, une intense activité de charrois, cavaliers, mulets et piétons se croisait aux gués de Sainte-Anastasie et de Dions, non loin de la voie romaine. Mais, lors des crues d'hiver, seuls le piéton ou le cavalier parvenaient, d'un grand détour, à traverser la rivière au pont du Gard par un étroit cheminement le long des piliers, au premier étage des arches ; ce passage était si étroit que les mules à bât ne pouvaient s'y risquer.
Bâti de 1245 à 1260 par les moines de l'ordre des frères pontifes, le pont Saint-Nicolas de Campagnac avec ses arches ogivales établit la précieuse liaison entre Nîmes et Uzès1. Plus tard, pendant les guerres de religion, il devint le lieu crucial des combats. Occupé par les protestants, il permettait de conserver le contact entre les deux villes alliées ; enlevé par les troupes royales ou les Guisards, il isolait les deux cités.
Sous Charlemagne, la région de Campagnac était une aimable étendue de collines et de prés en bordure du Gardon, fort à l'écart des routes et des villages. Quelques misérables ménages, loin de tout, logeaient dans des huttes de bois et de roseaux, cultivant un lopin maraîcher et vivotant d'une ou deux chèvres et de braconnage région oubliée reçut une existence administrative en l'an 896 quand le roi d'Arles, Louis l'Aveugle, concéda la terre de Campagnac à Amélius II, évêque d'Uzès.
Cent ou deux cents ans plus tard, un autre évêque d'Uzès s'avisa d'utiliser ce lieu perdu pour la méditation des moines. Il le confia à l'ordre des Augustins qui possédait déjà l'abbaye Saint-Ferréol d'Essômes aux portes d'Uzès. On ignore la date de fondation de ce prieuré de Saint-Nicolas de Campagnac. Mais il existe un état de Louis VII, roi de France, adressé en 1156 à l'évêque d'Uzès qui cite le prieuré pour la première fois. De même, on trouve un écrit de l'abbé Pons, prieur de Saint-Nicolas, qui est daté de 1188.
Cependant, les liaisons entre Uzès et Nîmes devenaient de plus en plus fréquentes ; le charroi du blé, du vin, de la bière et des matériaux s'amplifiait. Il fallait ouvrir une grande voie facile reliant Nîmes à Uzès. L'évêque Pons de Becmil s'y employa avec une telle ardeur que, bientôt, on le nomma communément « l'évêque du Pont ».
La physionomie du pont a été très modifiée sous le Second Empire (1862) avec le rehaussement général du tablier du pont médiéval d'origine et le creusement, rive gauche, de la route actuelle, dans le rocher du prieuré dont plusieurs éléments disparaissent, permettant ainsi d'éviter le passage devant l'ancien prieuré de Saint-Nicolas de Campagnac le long du Gardon. Le 24 août 1944, la Wehrmacht, dans sa retraite, fait sauter deux arches de l'ouvrage.
À la suite des inondations du 9 septembre 2002, le Gardon est passé à environ trois mètres au-dessus du tablier du pont, lequel fut particulièrement endommagé. Une plaque en marbre fixée dans le rocher côté rive droite constitue le repère de cette crue. Les travaux de restauration du pont ont duré plus de sept mois durant lesquels l'axe Uzès-Nîmes fut coupé. À cette occasion, le tablier subit une discrète et nouvelle modification : il est légèrement élargi pour permettre un meilleur croisement des véhicules. Cette opération a été rendue possible par le fait que le pont ne bénéficie pas de mesures de protections aux titre des monuments historiques à la suite des multiples modifications et outrages subis depuis le milieu du XIXe siècle.
Beau temps froid d’hiver. Grand ciel bleu. Petit gel le matin et une température qui ne montera pas au-dessus de 10°C. Et là dessus bien sûr un petit mistral , mais gentil.
Nous voilà donc partis à Saze. C’était si près qu’on aurait pu y aller à pied par le GR.
Nous partons donc de Saze par le sentier de la petite draille et bientôt nous longeons des vignes, pour passer sous le TGV et arriver au sentier GR (balisé aussi en jaune) On passe brusquement d’une zone habitée et cultivée à une zone assez sauvage de maquis dans les collines. Le chemin passe un petit col qui donne une belle vue sur cette zone. Un peu plus loin, nos deux premières capitelles. Une boucle sur la droite nous y conduit en ménageant de beaux points de vue.
Les capitelles (bories dans le Vaucluse) étaient des abris en pierre sèche que construisaient les paysans dans ces collines où se cultivaient des oliviers, des amandiers et s’élevaient quelques chèvres. Ces abris (du 18 et 19 ème siècle) permettaient de stocker les outils, de stocker certaines cueillettes, de parquer les chèvres, etc.. Certaines avaient des cheminées ce qui montre qu’on pouvait aussi y faire à manger. D’autres étaient construites avec des murs plein sud et des bancs pour se protéger du vent
Mais pendant que je parle, le groupe a bien cheminé et s’approche d’Aramon. Un panneau à gauche indiquant " capitelles " nous fait monter sur le plateau. (Si on va tout droit on arrive après 500m au parking d’Aramon qui peut être le départ d’une balade plus courte.) En haut du plateau, table d’orientation avec une super vue sur le Rhône, d’Avignon à Tarascon. En face la montagnette et derrière les Alpilles. Une belle zone de pique-nique possible/ Mais aujourd’hui trop de vent
Nous reprenons un chemin particulièrement bien balisé (bravo les baliseurs) qui nous fait faire un parcours en montagnes russes de capitelle en capitelle (15 en tout)
Nous en choisissons une au fond d’un vallon plein sud où notre gentil mistral se fait oublier ,pour le pique-nique. Bien assis au soleil, le redémarrage est un peu difficile.
Les montagnes russes continuent, puis après avoir terminé ce circuit des capitelles , nous reprenons ce GR qui va vers les angles. Après un passage dans le musée de street-art de Saze (les tags sur les parois du tunnel sous le TGV), nous quittons le GR pour revenir tranquillement vers Saze par la petite route du cimetière.
Arrivés au Parking, après 14Km & 250m de dénivelé, on n'a pas vu le temps passer.
La glacière est là pour notre chocolat chaud, toujours très apprécié en cette saison.
Mais, en outre, Benoit et Sandrine nous font découvrir NOS Gobelets à notre "Effigie" Ils sont superbes et auront beaucoup de succès.
Une capitelle est une cabane construite en pierre sèche, c'est-à-dire sans mortier, dans les anciennes garrigues des villes du département du Gard. Le terme " capitelle " est la francisation du nom
Ce Dimanche, la météo est belle, et il se murmure que, peut être, il y aura quelque chose de chouette au retour de la randonnée ! C’est, probablement, la raison pour laquelle nous nous retrouverons 33 au départ du forum, puis sur le parking bucolique de Valloncourt au pied du petit Luberon près de Cheval Blanc-La Canebière.
Apres s’être équipés et avoir tapé un peu la semelle pour se réchauffer (car il fait froid ) et attendre les brebis égarés (qui ont précédé et non suivi le tracé recommandé) nous partons enfin !
Il fait froid, mais le soleil monte et l’effort nous réchauffera!
On s’engage sur le chemin balisé en direction du sommet de Valloncourt, large et déjà ensoleillé, au pied de belles falaises qui nous dominent. Nous quittons ce PR par la gauche pour un petit sentier au cœur de la forêt, pour une ascension régulière sur un sentier facile entre les falaises bordant le Vallon des Buisses et le sommet de Valloncourt (462m) masqué par la forêt. Quatre Km représentant les 2/3 de l’ascension de la journée, au cours desquels nous admirons les falaises dans le soleil du matin, mais aussi, par endroit, la végétation couverte de givre.
Nous débouchons tous sur la petite route fermée à la circulation pour une petite pause avant d’atteindre la tête des BUISSES. Il n’y a pas de Mistral et nous pouvons donc admirer la plaine de la Durance, Mallemort Sénas et, jusque qu’à l’étang de Berre que l’on devine dans la brume non encore dissipée.
Puis, en revenant sur nos pas, nous rejoindrons la petite route que nous descendrons, sans oublier de profiter du paysage, Cavaillon et la colline St jacques , Avignon visible au loin en particulier.
Sur notre droite, nous prendrons une petite sente afin de quitter ces larges chemins. Cette sente nous fera passer au cœur de ce massif sauvage superbe pour nous amener (après un petit passage technique) à l’Abris de Cantian pour notre pause Pique-nique. Cet Abris est ouvert en libre-service aux randonneurs (Cheminée, table pour 6 ) et, justement une famille est à l’œuvre pour des grillades. Nous nous mettons un peu plus loin adossés à un petit muret pour certains et pour d’autres sur la pelouse entre ombre et soleil. On s’attardera un peu car il fait bon, et on profitera de ces instants conviviaux qui nous ont tant manqué !
Le retour se fera (après un petit raidillon) par le sentier balisé que nous quitterons par la droite pour descendre certes dans les cailloux, mais au cœur des falaises de Valloncout avec, par endroit des Ocres et des Cèdres.
Nous arriverons à notre Parking après avoir rejoint le chemin du matin. Les falaises à notre Gauche ont un éclairage différent.
Au Parking, nous aurons tous le plaisir de partager la Galette des Rois accompagné de notre super Chocolat Chaud, au soleil et dans la bonne humeur générale !
Départ du parking de BEAUMES les VENISES
Direction la chapelle notre Dame d’AUBUNE (Style ROMAN du XIIème siècle), située au pied de l’OPPIDUM des COURENS.
Origine : Lors de sa victoire contre les Sarrasins, en reconnaissance CHARLEMAGNE ordonna de bâtir cette chapelle dédiée à la Vierge Marie. Elle fût appelée AUBUNE en souvenir de l’aube fortunée qui avait donné la victoire aux Francs.
La chapelle Notre-Dame d'Aubune est construite sur le site d'une source vénéré par les Romains. Une statuette de Mercure, dieu du commerce et des voyageurs, y a été découverte lors de travaux...
Notre randonnée se poursuit en longeant le CANAL de CARPENTRAS. Sa prise d’eau se situe sur la DURANCE, il est long de 69km auxquels s’ajoutent 725km de canaux secondaires et tertiaires
L'arrivée du Canal a aidé la plaine du Comtat à diversifier ses cultures et devenir à la fin du 19ème siècle, un véritable jardin de primeurs. Le canal est créé en 1857 par le Pernois loui...
Nous nous dirigeons vers les grottes d’AMBROSI. Les grottes d’AMBROSI sont en fait des carrières d’extraction de meules situées sur le flanc Ouest du plateau des COURENS.
Les lieux présentés sont libres d'accès, cependant certains sont situés sur des propriétés privées. Nous vous prions de respecter ces lieux, comme s'il s'agissait de votre propriété, afin ...
Direction le lieu-dit la BRIQUETTE pour emprunter un sentier un peu boueux le long du Grand VALLAT (VALLAT : ruisseau en provençal) afin d’atteindre la piste des Eaux Minérales.
La source de MONTMIRAIL, dite source VERTE, a été exploitée et mise en service de 1859 à 1939. Les particularités de ces eaux se trouvaient dans leur couleur (verdâtre) et leur odeur (Hydrogène sulfuré : H2S).
""Les eaux minérales de Montmirail « utilisées dès le milieu du XVIIIè siècle pour leurs propriétés riches en sulfures et en sulfates » ; les bienfaits de « la source d’eau verte » découverte dans une grotte au début du XIXè siècle et l’Etablissement Thermal créé sur place par Théophile Bourbousson. L’Hôtel des Bains proposait des bains, des inhalations et des douches à une clientèle nombreuse et aisée. Le poète Frédéric Mistral et la tragédienne Sarah Bernardt séjournèrent dans cet établissement raffiné au cœur d’un parc de 330 hectares de pins résineux et fermé au début des années 20.""
L
Un regard sur les DENTELLES de MONTMIRAIL (nom vient du Latin « mons mirabilis : montagne admirable ». Les DENTELLES sont les conséquences de la faille de Nîmes lors de la formation des Pyrénées.
Nous faisons la pause déjeuner au domaine de DURBAN à l’abri du Mistral.
Après avoir repris des forces nous nous dirigeons vers le ROCHER du DIABLE situé à l’Ouest de L’OPPIDUM au-dessus de la chapelle d’AUBUNE. Superbe vue sur la plaine de BEAUMES de VENISE
Nous empruntons maintenant un sentier vers la chapelle ST HILAIRE. La chapelle se situe sur l’Oppidum des COURENS.
L’Oppidum fût aménagé par une peuplade Celto-ligure « les Memini : en latin signifie -je me souviens- » il a une superficie de 7 ha à une altitude de 290m. Place forte, il contrôlait la voie entre CARPENTRAS et VAISON.
L’Oppidum fut abandonné après la conquête Romaine. La PAX ROMANA favorisa l’établissement des communautés dans la plaine.
La restauration de la chapelle ST HILAIRE de style Roman (VI siècle) est terminée. Le mur des Tchèques et une fresque côté Nord témoignent de l’action des Bénévoles et des donateurs.
Nous notons que la Marche des Rois (rois mages), procession religieuse, vers la Chapelle St Hilaire a eu lieu la veille.
POUR CEUX QUI EN VEULENT ENCORE PLUS & SVP CLIQUER SUR L'ONGLET "AU JOUR LE JOUR"
Ses ruines encore imposantes s'élèvent sur la colline au dessus du village, elle offre une vue magnifique sur la plaine du Comtat-Venaissin et les dentelles de Montmirail. La colline s'étire en ...
Nous traversons l’Oppidum en ligne de crête et passons devant le CASTELAS DES COURENS en cours de restauration, avant de redescendre sur le village de BEAUMES DE VENISE par un sentier un peu escarpé. Passage devant les ruines du château des BARONS avant de retrouver les rues de la cité de BEAUMES les VENISE.
La colline au nord-ouest de Beaumes-de-Venise abritait, à son sommet, l'oppidum des Courens. Il occupait environ une superficie de sept hectares. Les pentes abruptes situées au nord, à l'est et ...
Nous sommes 36 pour cette dernière randonnée de l'année 2021.
Une randonnée facile , 14km , 300m de dénivelé au départ de Collias
Du parking (gratuit en cette saison) nous empruntons le GR nous faisant traverser le village.
Le village traversé, nous prenons la seule grimpette du parcours qui nous mène sur la crête surplombant le Gardon.
De là-haut nous avons une belle vue bien dégagée sur Uzès , St Siffret , Valliguières.
Nous ne sommes pas les seuls sur le parcours, un Trail nous contraint à marcher en file indienne sur toute la longueur de la crête.
Nous laissons nos Trailers poursuivre leur périple, pour descendre vers la Baume par un PR tout en lacets.
Arrivés au bord de la rivière , nous nous installons pour le piquenique. Le temps étant fort agréable, nous en profitons pour séjourner un peu plus longtemps qu'à l'accoutumée. Petite virée jusqu'à la chapelle St Vérédeme , l'entrée de la grotte (fermée en cette saison) , moment de convivialité......
Nous rejoignons Collias en longeant la rivière, alternant passages en forêt et "plages ".
De retour aux voitures, les oreillettes ainsi que le cidre nous attendent .
L'Ermitage, cette combe magnifique et mythologique qui s'ouvre depuis le Gardon, vient buter au pied d'une source d'eau fraîche et claire, symbole de possibilité de vie, a toujours fasciné l'hom...
Les Charbonnières existaient aux 18 e et 19e siècles pour fournir les fabriques de papier, les forges, les verreries et autres utilisations domestiques. Cette énergie a disparu dans les années ...
Sur le Parking à Aureille, nous serons 23 pour cette aventure...
En route pour les "Caisses"...
On découvre, certains pour la première fois, ce site à la fois Géologique & Archéologique
Ce site est grandiose, moment incontournable pour la pause déjeuner... & si possible à l'abri du mistral. Même le chien des "Beaumettes" (très bien élevé) nous a trouvé sympathique! Il rentre tout seul... On est prévenu... Ne pas téléphoner...
Puis, pour le retour, on longera le canal et des champs d'oliviers...
Chocolat chaud, Verveine et Bugnes (merci à Claudine) pour nous réchauffer dans la convivialité (en respectant la distanciation)..... Merci à tous pour votre présence, à Jacqueline et Gilbert, aux photographes, à la météo. Bref, superbe journée!...
Les caisses de Jean-Jean est un site naturel ainsi dénommé car il s'agit d'un vaste espace enserré au milieu de falaises qui en font un site protégé et reculé ; Le terme Jean-Jean vient d'un ...
Avec la section randonnée de l'ADAPR nous nous retrouvons une quarantaine de randonneurs au Forum pour un circuit unique de 16 Km & 200m de dénivelé vers Pujaut et ses falaises.
Les inscriptions se feront dehors à partir de 9h pour un départ prévu à 9h30, le Forum, fermé à cette heure n'ayant pu nous accueillir.
Il est donc décidé de partir dès l'heure sonnée, pour ne pas trop se refroidir, et en un seul groupe encadré par des accompagnateurs des deux associations.
Nous voilà partis d'abord dans les rues avoisinant le Forum, en direction du centre Equestre devant lequel nous ferons un premier regroupement.
Puis, pas loin du "Trou de la Lune", nous cheminerons en sous bois jusqu'aux abords de la route de l'aérodrome. Là ,nous pourrons observer le ballet des avions et parachutistes. Nous longerons un moment cette route, passant au pied des falaises nous surplombant sur la droite, par un sentier agéable.
Puis, après une petite "grimpette" nous atteindrons le plateau, où il serait possible de boucler pour un circuit de 8Km avec retour au Forum. Mais non, nous rejoindrons les crêtes et atteindrons un promontoire avec vue panoramique sur la plaine de Pujaut.
Nous redescendrons vers la route de Pujaut que nous traversons avec le maximum de sécurité possible, ainsi que la GR 42, afin de nous rendre au lieu du pique nique pouvant accueillir une quarantaine de personnes. Là, l'ambiance très conviviale présente tout au long de la matinée se renforce encore, d'autant que de nombreux participants des deux groupes se connaissent déjà.
Le retour est amorcé à travers garrigue, bois et lotissements en direction de la Ferme de la Garenne, puis en longeant les Perrières nous parviendrons dans les bois en bordure du "Mas de Carles" que nous laisserons pour traverser (plus facilement) la route de Pujaut et rejoindre le plateau déjà abordé le matin. A passage nous admirerons les artistiques Tags portés par une cabane en ruine.
Puis ce sera le retour progressif à la civilisation, premières maisons, premier ron-point, les Hauts de Villeneuve, le Petit Montagné et l'arrivée sur l'espace vert à l'arrière du Forum.
Arrivés au Parking, certains rentreront chez eux, d'autres patienteront, dehors dans le froid, pour enfin se réchauffer avec un vin chaud.
Malgré la température fraîche, mais cepandant de saison, nous nous retrouvons 28 au Forum pour nous rendre sur le Parking du "Lac de Peiroou" à Saint Rémy de Provence. Ce lac, site remarquable au dessus de Saint Remy, a été créé par les romains. Il constituait une réserve d’eau pour la ville de Glanum située en contrebas, et qui disposait ainsi d’eau sous pression pour ses différents usages.
Le Lac de Peiroou est également associé au barrage du " Pirou ", premier barrage-voûte connu , qui avait pour but de desservir en eau le site de Glanum. Aujourd'hui le Lac de Peirou est égaleme...
Après un dernier coup d’œil à ce joli site, nous voilà partis, sur les traces du GR, en direction du mas de gros. Après une bonne montée nous débouchons sur le chemin de crête qui va nous conduire, par de molles ondulations, en direction des Baux de Provence. Ce chemin permet tour à tour des vues remarquables sur les Alpilles mais aussi tantôt en direction d’Avignon, tantôt en direction de la mer.
Soudain nous commençons à voir apparaitre une petite partie du château des Baux et voyons déboucher, sur notre gauche, un chemin avec un panneau « val d’enfer ». C’est par ce chemin que nous reviendrons ultérieurement. Nous continuons donc sur le GR pour arriver à un premier point de vue sur ce village magnifique.
Suivant la petite route goudronnée sur quelques centaines de mètres, nous trouvons sur la droite un sentier non balisé et assez remarquable, car offrant des points de vues successifs et originaux sur cette merveille provençale. Un passage avec des échelles métalliques permet de continuer la descente et nous arrivons à une grande dalle avec plein de sièges disponibles ! Plein sud. Beau soleil. Pas de vent. Beau panorama. Bien assis…. Un pique-nique de rêve !
Et nous voilà reparti. Petit chemin discret/ Passage près du lavoir et arrivée au large escalier qui mène au centre du village. Nous le prendrons une autre fois, car aujourd’hui nous basculons sur un petit chemin à droite qui va nous faire faire le tour de l’éperon rocheux des Baux, en passant près d’une chapelle remarquable et avec de belles vues sur la plaine d’oliveraies qui s’étend au pied du village.
Ce contournement nous amène à la deuxième entrée du village, que nous négligeons également (décidément il faudra revenir) pour se diriger vers le célèbre restaurant des Baumanieres. Après une consultation du menu, nous poursuivons et prenons à gauche, un sentier indiqué » val d’enfer »
Dénomination due à la « divine comédie » de Dante, dont la première partie qui se passe en enfer aurait été inspirée par ces lieux étranges et inquiétants.
Nous déambulons dans ces paysages grandioses puis reprenons une montée non balisée qui nous fera déboucher au point de jonction repéré à l’aller.
Le retour se fera tranquillement par le chemin de l’aller, mais les chevaux sentent l’écurie, ça descend et les journées sont courtes. Tout cela va donc être rondement mené et nos 28 pèlerins se retrouveront vers 16h aux voitures, les yeux plein de souvenirs et de lumière, tout étonnés d’avoir fait environ 16 km et 590 m de dénivelé, sans vraiment s’en être rendu compte.
De retour à "l'écurie" la convivialité est de mise... Merci pour cette randonnée superbe, éclairée par la soleil, pilotée par Joel, soutenus par nos accompagnateurs & pour la glacière tenue par Benoit.
Du néolithique à l'antiquité Si la cité des Baux ne naît qu'au début du Moyen-âge, elle a succédé à un peuplement très ancien. Dès l'époque néolithique (6000 ans avant JC environ), un...
Malgré un temps nuageux, nous fûmes 22 randonneurs au départ de la randonnée de ce dimanche 21 novembre. Pas de difficultés particulières pour cette randonnée de 14 km et un peu moins de 700m de dénivelé.
Nous débutâmes la randonnée au parking du château de Saumane, sur le GR de Pays « Tour des monts de Vaucluse », en direction du nord. Le long d’une DFCI boisée de chênes, nous rencontrâmes un oratoire où certains d’entre nous tentèrent de traduire les plaques gravées.
A travers de jolis sentiers empierrés nous remontâmes le GR jusqu’au plateau du Mourre de la Belle Etoile. La majeure partie du dénivelé fût réalisée à cette occasion. Malgré le brouillard au loin, nous pûmes discerner la tour d’Aramon, les dentelles de Montmirail et les quelques villages en contrebas. Malheureusement, nous ne pûmes reconnaître le palais des papes, perdu dans les brumes.
Arrivés à la balise « des trois luisants », les randonneurs longèrent le plateau jusqu’à la vigie, puis redescendirent par des sentiers empierrés parfois glissants. Quelques « cabris » décidèrent de descendre plus rapidement que d’autres ces pentes pierreuses !
Les vaillants randonneurs arrivèrent pour déjeuner à la ferme de Valescure où ils trouvèrent une aubaine : des bancs ! En effet, l’herbe étant humide, s’asseoir par terre aurait été pénible. Heureusement, les bancs étaient dans la ferme, mis à disposition des bénévoles la restaurant. Nous les empruntâmes le temps de manger puis les remîmes en place.
Ci dessous une vidéo du chantier de restauration de la ferme.
Après cette pause grandement méritée, nous repartîmes tranquillement pour poursuivre la randonnée, à travers bois.
Il nous restait cependant deux montées à gravir, la première nous mena au « bistrot à toutou », une ouverture aménagée à travers un mur de pierres sèches où, lors de la reconnaissance, un chien s’était désaltéré.
Les randonneurs redescendirent à travers un sentier caladé et purent visiter un abri sous roche. Une partie avait été restaurée et l’autre était restée abandonnée. Au sortir de l’abri sous roche, une source était présente.
La ferme semi-troglodyte de Marculy, qui était en ruine, a été reconstruite de 1988 à 1992 au cours de chantiers de bénévoles, principalement sous la direction de Robert Beaumet et de Serge C...
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Nous marchons le DIMANCHE, à la journée, en contact avec la nature, pour permettre à ceux qui travaillent de participer, dans une ambiance très conviviale.
Nous organisons aussi des Week-End et une semaine en moyenne montagne fin Juin.
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3/ Enfin sur "Sites à Consulter" il y a quelques informations (glanées au cours de nos randonnées) qui peuvent être intéressantes. Certaines d'entre elles sont un peu "anciennes", mais il n'y a pas tous les jours des évènements "exceptionnels" à relater!...