Pour ce premier dimanche d'avril avec un temps incertain et un froid hivernal, nous sommes 9 courageux randonneurs sur le parking du forum pour se rendre au hameau des Valettes près de Beaumont du Ventoux. 
Cette magnifique randonnée nous permet de découvrir, la face ouest du mont Ventoux, mais également de parcourir un itinéraire entre forêt et ligne de crêtes et nous faire bénéficier de vues superbes sur la vallée du Toulourenc, le mont Ventoux, les plaines de Beaumont du Ventoux et tellement de paysages. .
Cette randonnée fait 18km avec un dénivelé de 970m, les bâtons sont fortement recommandés.
Camille est notre serre file pour cette journée. Nous serons en relation permanente avec les talkie- walkies.
 

Nous commençons notre randonnée au départ du hameau des Valettes pour nous rendre via un sentier directement à une carrière où on y trouve des signes gravés dans différentes pierres. Le site est assez joli par son esprit naturel et sauvage. Lors de notre retour sur notre chemin, nous découvrons sur notre droite un village de bories miniatures, peut-être pour des Schtroumpfs. Après cette petite halte nous continuons notre chemin en longeant des champs de truffières afin de rejoindre le GR4 sur une route goudronnée que nous laissons rapidement. 
En effet nous marchons à nouveau dans des truffières afin de rejoindre un PR qui nous amène à la première difficulté de la journée,
 

 Après cette petite halte nous continuons notre chemin en longeant des champs de truffières afin de rejoindre le GR4 sur une route goudronnée que nous laissons rapidement. 
En effet nous marchons à nouveau dans des truffières afin de rejoindre un PR qui nous amène à la première difficulté de la journée,

Nous faisons une pause pour se ravitailler et pour enlever quelques couches sur notre dos avant d'attaquer l'ascension. A cette occasion j'en profite pour apporter quelques recommandations à chacun.
Nous commençons la montée à travers la forêt sur un sentier bien dessiné.
 Après quelques mètres sur celui-ci, la neige nous attend au sol. Tout le monde monte à son rythme et apprécie le paysage sur le sommet de la Plate et sur le pic de Comte.
Pendant cette ascension quelques flocons se sont invités à notre grande surprise.

Après 1h15mn d'ascension, nous arrivons sur un chemin nous permettant de rejoindre tranquillement notre lieu où se passera notre pause repas. Avec une vue sur les plaines et en fond les dentelles de Montmirail, nous dégustons notre repas avec en prime des cookies au chocolat et un gâteau basque  concoctés respectivement par Camille et Christophe. Après ce festin et ce moment de convivialité le temps était venu après 45mn de repos de repartir en direction du col de Comte.

Nous sommes repartis tranquillement sur notre chemin accompagné de quelques flocons.  Quelques boules de neige fusent entre nous dans la bonne humeur. Nous rejoignons une DFCI qui nous amène au col de Comte.                                                      A ce croisement de pistes, nous empruntons une sente sur la gauche qui nous permet de suivre une courbe de niveau avant d'entamer l'ascension vers le Pic de Comte. La neige est magnifique sur la forêt.
 

Nous attaquons la deuxième ascension de la journée à travers la forêt; matérialisé par un cairn, l'arrivée au Pic de Comte (1154m) se fait avec le soleil. La vue sur le Ventoux est splendide avec la neige. Nous arrivons à peine à distinguer l'antenne au sommet. Après cette petite pause nous continuons notre chemin sur les crêtes afin de rejoindre le sommet de la Plate (1130m).                                                                                              Au sommet, Bruno prend en photo le groupe afin de matérialiser la bonne humeur régnant dans le groupe. Nous avons beaucoup de chance avec la météo qui nous offre des vues splendides à 360°.

Le chemin sur les crêtes se poursuit afin d'atteindre un sentier nous permettant la descente vers le col d'Arnoux.
La descente n'est pas facile à travers des pierriers. Tout le monde descend prudemment.

Au pied de celle-ci des champs de truffières nous attendent à nouveau. Ceux-ci étant très clôturés, notre chemin nous amène à emprunter le lit d'un ruisseau afin d’éviter une propriété privé, puis faire du hors-piste en toute sécurité.

Les lieux sont vraiment très clôturés, notre péripétie nous amène, perdus de nulle part ailleurs, à tomber nez à nez avec une traction en piteux état. Après quelques minutes autour d'elle, nous continuons notre chemin à travers la forêt pour arriver sur une piste en terre qui signe la fin des difficultés pour aujourd'hui.
 

Enfin presque, en effet une dernière petite montée nous emmène via un chemin très pittoresque à la chapelle Saint Sépulcre. Après un petit moment auprès d'elle à la contempler, nous rejoignîmes via des escaliers en pierre le hameau des Valettes où les voitures nous attendent.

Après cette journée où les dénivelés étaient au rendez-vous, la glacière était présente et bien méritée, avec les derniers cookies au chocolat de Camille. Ceux-ci nous ont permis de passer un dernier moment de convivialité entre nous.

Je remercie les huit courageux pour cette belle journée en leur compagnie. Merci à Camille, notre serre file du jour. 
Et merci à la météo de m'avoir permis de mener à bien ma randonnée avec en prime, la neige comme cerise sur le gâteau. Certains n’avaient pas vu la neige depuis 10 ans.

Je remercie les huit courageux pour cette belle journée en leur compagnie. Merci à Camille, notre serre file du jour. 
Et merci à la météo de m'avoir permis de mener à bien ma randonnée avec en prime, la neige comme cerise sur le gâteau. Certains n’avaient pas vu la neige depuis 10 ans.

La chapelle du Saint-Sépulcre 

Est située à Beaumont-du-Ventoux, dans le Vaucluse, à 20 km au nord-est de Carpentras. Elle a été édifiée au niveau du hameau des Valettes, dans un environnement rural voire isolé, au milieu du XIIe siècle, dépendant alors de l'abbaye Saint-Victor de Marseille.

La chapelle de style roman a été remaniée au XVIIe siècle, restaurée en 1987 et elle est protégée au titre des monuments historiques depuis 2000.

Comprenant une nef de trois travées, son chevet se compose d'une abside semi-circulaire. Le mur est percé d'une baie à vocation de petit campanile qui abrite une cloche.

Les bases de la chapelle ont été construites en pierres de taille, le reste en moellons. L'édifice est réputé pour le linteau sculpté qui soutient le tympan surmontant la porte. On y observe un personnage (un prêtre voire Christ) la main droite levée comme s'il s'apprêtait à bénir quelqu'un ou à prêter serment. Il est encadré par des colonnes, des croix et ce qui semble être un sarcophage.

Une autre singularité de la chapelle est de présenter à de nombreux endroits, gravées sur des pierres, des marques de tâcherons, c'est-à-dire des initiales par lesquelles les artisans "signaient" leur participation à la construction. Pour cette raison, des historiens suggèrent que la chapelle du Saint-Sépulcre aurait été élevée par une corporation de tailleurs de pierres.
 

A 7h30  quelques gouttes à Pujaut et la Météo évoque des risques de petites pluies..Finalement nous serons à pied d’œuvre au parking du lac de Peirrou à Saint Rémy de Provence. Ici il n’ a pas plu, et finalement il ne pleuvra pas, ce qui nous permettra de faire notre parcours sans risque de glisser les dalles de pierre.

On commence par ce joli lac créé  initialement par les romains, avec un barrage voûte qui est le plus vieux connu au monde et à l’époque une canalisation qui amenait l’eau sous pression à la ville de Glanum située en contrebas.
Un dernier coup d’œil au lac, et nous voila partis sur sa berge suivant les marques du GR, qui nous amènent à une cheminée dans la montagne que nous escaladons grâce aux échelles métalliques disposées gracieusement dans la paroi.
 

On dévale le sentier de l’autre côté, et aboutissons par la route aux « Antiques » deux monuments romains célèbres disposés en face des ruines de Glanum
En traversant la route nous sommes en direction du cloitre saint Paul de Mausole où Van Gogh résida avant son séjour final à Arles. Un sentier Van Gogh a été disposé dans la ville avec des reproductions de tableaux. Nous profitons des premiers avant de longer le cloitre sur la droite jusqu’à un oratoire.
 

A cet oratoire nous prenons à droite, le chemin de Saint Clerg qui va monter de manière continue vers le plateau de la  Caume en passant devant les ruines de la ville de Glanum, puis devant les ruines d’une chapelle ,point de départ d’’un sentier avec échelles autour du mont Gaussier. Nous débouchons alors sur la petite route goudronnée qui se dirige vers la tour de communication

Nous prenons le sentier à gauche qui monte énergiquement vers un point culminant donnant une vue globale à 360° sur la Chaîne des Alpilles. De là nous poursuivons pour arriver au célèbre rocher des deux trous avec leur vue sur Saint Rémy.
Nous re dévalons vers la route goudronnée en direction de la tour .Cette route nous mène , après le grand virage au départ du GR vers les crêtes. Un petit groupe plus malin, a trouvé un sentier évitant ces quelques centaines de mètres de goudron et débouchant à ce même départ.
 

Et nous voila partis sur ce sentier des crêtes. Il est presque midi et certains estomacs grondent. Nous trouvons un bon coin protégé du léger vent du sud est et avec plein de beaux cailloux pour s’asseoir. C’est le pique-nique.

Nous voilà repartis et nous rentrons dans le dur. Sentier technique pas facile et où les mains sont parfois nécessaires. La progression en est bien sùr ralentie. Beaucoup de belles fleurs. C’est bien le début du printemps. Des iris jaunes et violets, des pissenlits ou pâquerettes , des beaux globulaires bleus, des romarins en fleur et d’autres dont j’ignore le nom. Nous traversons ce parc naturel avec comme tout chemin de crête, des vues magnifiques sur le massif à droite et à gauche.

Après des montées et descentes rocheuses et éprouvantes, nous sommes en vue du col de Vallongue. Col très étroit , comme si un géant avait donné un grand coup d’épée dans la montagne. La descente de cette étroiture  se fait dans les éboulis , et nous arrivons de lacets en lacets en bas, en face du château de Romanin. Ouf nous n’avons perdu personne.

Nous sommes déjà bien fatigués, mais sommes en fait au point le plus loin des voitures. Retour à marche « tranquille » sur terrain quasi plat par la plaine vers les Antiques. Nous débouchons à l’oratoire et continuons jusqu’au parking des Antiques.

Là, un petit groupe constitué essentiellement des chauffeurs reprendra en sens inverse le chemin vers la cheminée qu’il faudra ici redescendre. Les voitures repartiront du lac , vers le parking des antiques , où se déroulera la distribution des traditionnels chocolat chaud et verveine (ici renforcés d’une goutte d’élixir de chartreuse verte !)

Merci à Joel pour cette superbe randonnée, certes technique.

Merci à nos 17 participants pour leur présence.

Nous sommes 17 partants ce dimanche, le covoiturage terminé,  direction Ville sur Auzon.
Le parking se situe sur la D1, lieu de stationnement habituel des grimpeurs (nombreuses falaises à proximité).
Après 2 km environ de sentiers relativement plats, nous entamons la montée de la journée .
 

Une heure de grimpette qui normalement devait nous permettre d'avoir une magnifique vue sur le Ventoux, mais malheureusement un épais brouillard nous en prive. Les  600 mètres de dénivelés accomplis,  c'est sur  le plateau que nous continuons notre progression.
Nous passons devant un relais de chasse bien aménagé, initialement prévu pour le pique-nique ; nous sommes en avance sur le  timing
 

C'est une demi-heure plus tard que nous posons le sac, à l’endroit où en principe nous devons avoir la vue sur le grand chauve. La météo n'étant pas avec nous, ce n'est pas le cas.
Nous avons quand même un petit rayon de soleil pour nous réchauffer à défaut de vue.
 

Après le repas, le café, les gâteaux, le chocolat, nous reprenons notre périple en passant par la combe de la Sône , nous laissons la bergerie du Pas du Loup sur notre droite sans y passer .

Le retour au parking se fait par une longue descente et par un large sentier caillouteux certes mais  bien agréable.

Comme à la coutume, notre chocolat chaud nous attend. ( un grand merci à Benoît et Sandrine )

Pour ce dernier dimanche de février, avec un très beau soleil et sans vent en perspective, nous sommes 17 randonneurs sur le parking du forum pour nous rendre à Chusclan dans le Gard.
Nous nous sommes retrouvés sur le parking situé tout prés du sentier botanique au dessus de Chusclan.
Cette randonnée fait 19,5km avec un dénivelé de 560m. Camille est notre serre file pour cette journée. Nous serons en relation permanente avec les talkie-walkies. Ceux-ci seront utiles du fait des tracés non balisés et de sentiers assez déroutants.

Nous commençons notre randonnée en empruntant un sentier botanique qui nous amène tranquillement sur un premier point de vue sur la vallée du Rhône. Après cette petite halte, notre parcours nous emmène à travers différents sentiers non balisés  à un deuxième point de vue où là, nous attend une vue sur la vallée de la Cèze. Le temps est vraiment très agréable en ce début de matinée. 
Un troisième point de vue situé près des vignes, nous permet de contempler le château de Jonquier et  sa chapelle.
 

Nous continuons notre avancée en direction de la chapelle Sainte-Madeleine du château de Gicon.
Une montée progressive nous permet d'atteindre le château de Gicon. Nous prenons notre temps pour visiter ce site très bien rénové. Sur place, un petit aller-retour nous permet de visiter une grotte naturelle où les Celtes pratiquaient leur culte 
 

Nous quittons ce très beau site après une petite demi-heure, pour reprendre notre route à travers des sentiers tantôt ombragés tantôt ensoleillés. L'heure du repas pointe son nez, en effet une DFCI nous emmène aux portes de Vénéjan où un moulin à vent nous attend afin de nous restaurer au soleil et dans la bonne humeur.

 Après une pause de 45mn, nous reprenons notre chemin sur des sentiers ombragés avec des jolies petites montées. L'ambiance est au beau fixe dans le groupe malgré les kilomètres dans les pattes . Une  des dernières montées nous amène sur un sentier totalement sauvage apprécié par le groupe.Une descente assez compliquée nous attend. 
 

Un petit rappel au groupe sur leur vigilance est nécessaire à ce moment-là. La descente fut bien maîtrisée par le groupe. Cette difficulté passée, nous  entamons notre retour avec une dernière montée qui nous mène sur une DFCI nous permettant une dernière vue sur les vallées du Rhône et de la Cèze avec en contre bas une vue sur le site de Marcoule.
 

Notre périple se termine à 17 randonneurs (autant qu'au départ,  quelle bonne nouvelle !) avec un retour aux voitures vers 16h30. Ce temps exceptionnel pour ce mois de février nous a permis de savourer notre pause glacière aux voitures et nous a permis de passer un moment convivial entre nous.

Je remercie les participants pour cette belle journée en leur compagnie.

Merci à Camille, notre serre file du jour.

Merci aux photographes, Isabelle, Maurice & Pierre Jean (pour le moment)...

Merci pour votre confiance.
A bientôt sur les chemins. Benoît
 

Nous voilà donc au forum à 8h30 avec une météo qui s’annonce mitigée. Le ciel devrait se couvrir et la pluie arriver dans l’après midi
Mais 18 courageux sont là, parce qu’une journée de randonnée c’est une semaine de santé. !
La balade démarre du parking à l’entrée du petit village de saint Michel d’Euzet situé dans la vallée de la Cèze, sur la droite après Saint Gervais.
 

Nous voilà parti par un large chemin qui va nous mener au cimetière puis continuer à travers champs jusqu’à la route que nous traversons. Peu après nous voilà au bord de la Cèze, bien basse après deux mois sans pluies.

Nous nous échappons du chemin, sur la gauche et passons de blocs en blocs pour voir le canyon creusé par le fleuve en aval des chutes. Nous arrivons ainsi aux chutes avec l’agglomération très singulière du chaos rocheux en aval. Le petit canal qui détournait des eaux vers un moulin aujourd’hui en ruines est toujours là. Les chutes, noires de monde l’été, sont aujourd’hui désertes et réservées à nous seuls.

Le chemin continue et arrive au spectaculaire pont romain qui depuis 2000 ans résiste aux crues de la Cèze.  Lors de la crue de 2002, qui avait emporté beaucoup de ponts dans la région, la Cèze avait submergé le pont, mais celui-ci avait résisté. Les romains, en effet dimensionnaient leurs ponts, pour les crues exceptionnelles. Là où une arche suffit en temps « normal », le pont a une dizaine d’arches, qui vont toutes débiter en cas de crues. De plus les romains construisaient sur un fond rocheux, ce qui évitait des affouillements extracteurs de gravier conduisant à la perte de support pour les piles (comme pour le pont d’Avignon qu’il fallait reconstruire après les grosses crues)

Nous passons donc ce pont étroit en regardant les belles carpes qui frétillent en dessous, et les arbres morts charriés par les crues qui sont venus s’encastrer dans les piles et qu’il faudrait penser à débiter au plus vite !
Les immenses parkings payants aménagés après le pont sont aujourd’hui déserts mais laissent imaginer l’affluence lors des chaudes journées d’été. 

Nous voilà reparti sur la droite par un chemin en montée douce qui va peu à peu nous amener au château. Au passage, un magnifique portail en acier Corten, un acier qui rouille et s’auto-protecte. Pas de traitement ni de peinture. Très utilisé par les architectes. (Voir Wikipédia pour les personnes intéressées)

Car château il y a !  Formidable castel sur un promontoire rocheux, pillé et brûlé plusieurs fois durant les guerres de religion mais toujours massif et aujourd’hui assez bien remis en etat par des propriétaires privés (donc ne se visite pas). En bas du château une grande esplanade avec vue sur toute la vallée. C’est décidé, c’est là que nous mangerons, bien assis sur les parapets et avec des vues imprenables.

Nous voilà repartis par une petite montée bétonnée qui nous réchauffe, et ensuite on dévale vers le magnifique village de La Roque sur Cèze. On va s’y promener de points de vue en points de vue. Un des plus beaux villages de France. Beaucoup d’ateliers d’artistes De ruelles en ruelles nous finissons à l’église restaurée en 2012.

Reprenons la route vers le pont romain que nous refranchissons avec plaisir pour prendre à gauche à sa sortie. Après un restaurant assez luxueux, un chemin à droite intitulé chemin de Saint Michel d’Euzet nous tend les bras. Nous le suivons tranquillement, à travers champs, et il nous amène dans ce village que nous découvrons tranquillement avec ses beaux murs en pierre et la place de l’église où une cloche est curieusement posée par terre près de l’église

Nous voilà alors revenu au parking. Nous avons fait un huit dont le milieu était le pont romain, de 15,4 km avec environ 250m de dénivelé, sur des chemins larges, faciles et donc peu fatigants.
Il est tôt, environ 15h, mais les premières gouttes commencent à tomber et nous reviendrons au sec dans nos voitures, mais sous la pluie. Bon timing donc pour cette belle balade touristique.
 

Clin d’œil